suivant le même principe ! @ vous de voir !
L’océan frappe de ses vagues nerveuses le visage du rivage, amène et dépose chaque fois des résidus de notre humanité. Quelquefois, il les reprend mais juste pour les trainer un peu plus loin. Quelques galettes de fuel, un bout de corde bleu délavée emmêlée de varech, un bouteille de soda, des branches d’arbre couvertes d’écume et d’éclats de coquillages. Un cadavre de chien gît, autour duquel s’affairent des volatiles des océans. Le ciel sombre emmène cette luminosité vers le soir au milieu des cris des oiseaux...